Jacques Lambert cinéaste écrivain

 

Page de garde - Accueil - Le blog qui débloque

Cinéaste - Printemps crétois - Terres grecques (De l'Olympe aux Îles grecques)

Conférencier

Ecrivain - L'oeuvre littéraire - Littérature - mode d'emploi

Le trou dans le ciel - La vie à l'endroit, à l'envers et de travers 

Les petits cris - Yémen entre chiens et loups - La cité des merveilles

Carnet de voyage: la Roumanie - Bucarest

Hommage à René Desmaison - Hommage à Yves Duval - Hommage à Monique Cordier

G.E.R.P.M.-S.C. et Sgraffito

Les chats de Roland Bavais

Modeste billet d'humeur d'un junkie wallon et bruxellois

Sites amis, coups de coeur, annonces, voter pour le site - Salle des machines du site - Contact

 

 

 

Désolé - curriculum vitae oblige ! -  pour respecter la tradition des formules, formulaires et formulations classiques, nous passons momentanément à la troisième personne !... Courage !...

 

 

Après ses études de cinéma à l’I.A.D. (Institut des Arts de Diffusion, alors situé à Bruxelles, aujourd'hui implanté à Louvain-la-Neuve), Jacques Lambert réalise deux moyens métrages de fiction, Le retour  et  Les pas perdus ; il effectue les prises de vue de Les uns, les autres, long métrage de fiction du cinéaste algérien Mohamed Ben Salah.

 

Très vite, il s’oriente vers le film documentaire de long métrage : quoique davantage discret, le travail de création s’y révèle aussi infiniment plus libre. Et la liberté de création, c’est sans aucun doute, pour tout créateur, le bien le plus précieux qui soit.

 

Comme opérateur de prises de vue, il accompagne durant neuf mois, dans les deux Yémen (aujourd’hui réunifiés), Alain Saint-Hilaire qui y réalise son film de long métrage, Je reviens du Yémen et t’en rapporte des nouvelles vraies.

 

Il participe aux prises de vue de Sahara, plein sud du même réalisateur, ce qui l’entraîne en Algérie, au Niger, dans un Tchad en guerre, au Cameroun et en République Centrafricaine.

 

Il enchaîne avec  Venise, Florence et Rome de Guy Thomas,  La route des Pharaons de Christian Monty (prises de vue de Djibouti, du Kenya et du Maroc), L’Egypte de Gérard Civet,  Portugal, pays des découvertes du journaliste Yves Duval (connu pour sa collaboration au journal Tintin et ses travaux nombreux de scénariste avec les tout grands de la BD), Autriche, un parfum d’éternité de Michel Brouchon, Hongrie de Christian Debruyne (décédé accidentellement avant la fin du film).

 

Si son métier de cinéaste le conduit encore dans les Emirats du Golfe, en Arabie Saoudite et au Liban, il lui fait également découvrir un pays bien plus proche de nous et pour lequel il va très vite se passionner : la Grèce...

La Grèce, berceau de notre civilisation, le fascine à ce point qu’il y réalise deux longs métrages dont il signe aussi la photographie: Printemps crétois (largement diffusé en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne et au Canada) et Terres grecques (diffusé, quant à lui, en Belgique, au Luxembourg, au Canada, ainsi qu’en France sous le titre: De l’Olympe aux Iles grecques).

 

Il se voit confier, à Montréal, le montage du film Canada, coast to coast d’Alain Saint-Hilaire.

 

Au décès accidentel de Richard Chapelle, cinéaste-conférencier et co-fondateur de Cap Monde, il reprend au pied levé la présentation en France et en Belgique de ses films sur les Indiens d’Amazonie, l’Indonésie, les Philippines, le Rajasthan et de son film posthume sur le Sri Lanka.

(voir à ce sujet http://www.cap-monde.com/ ).

 

 

 

Mon Dieu, l'hécatombe !... Où êtes-vous donc passés?...

Eh bien tant pis ! Je poursuivrai avec le survivant !... Comment ça "Qui?" ?... Mais vous, pardi ! Qui voulez-vous que ce soit d'autre ?...

 

Alors, pour votre peine, voici, en langage blog, donc moins protocolaire et davantage convivial et humain, la traduction de ce même curriculum vitae que vous venez de lire en bâillant (si, si!).

 

 

 

Mon big bang eut lieu le 15 mai 1944 à Ixelles (Bruxelles), comme en témoigne ce parchemin retrouvé au fin fond d'un grenier...

 

Un grenier, c'est - comment dire?... - une sorte d'île au trésor, un territoire incertain, plein d'odeurs indéfinissables, le lieu inquiétant du mystère, de l'obscur, du non-dit, une inextricable contrée faite de matières et de formes indéfinies, truffée de toiles d'araignée pour capter tous ces cris silencieux venus d'on ne sait où, d'on ne sait qui, bref, le refuge planant des âmes ancestrales et grognantes...

Grognantes, grogner, grenier... Vu?...

Ben, j'explique ça pour les gens des villes évidemment... 

A remarquer: sur le document, ma première dédicace, muette et dont il serait trop mesquin d'en vouloir contester l'authenticité.

 

 

Solide école gardienne à Uccle (Bruxelles).  Avec langes. Au pluriel, bien sûr, la générosité étant une vertu naturelle de l'enfance.

 

Spécialisation à Flavion (village situé en Entre-Sambre-et-Meuse). Sans langes, cette fois. Autant dire, sans filet. Comme dans les meilleurs cirques.

 

Ecole primaire à Corenne, village voisin de mon village, où je me rends chaque jour à vélo pour me tailler des cuisses autres que de grenouilles...

 

 

 

 

Enfant, je souhaitais déjà "faire cinéma" plus tard.

Toutefois, à défaut, je n'aurais pas dédaigné non plus  "faire paratonnerre", ou "tire-bouchon", par exemple, deux occupations qui, dès ma période préhistorique, m'étaient apparues, l'une aventureuse, l'autre mystique.

En attendant la venue du grand choix - mais était-il nécessaire de choisir ? -, et pour passer le temps, je me suis alors mis à arpenter tous les sous-sols possibles et imaginables. A croire que j'avais été lapin ou taupe dans une vie antérieure...

Taupe ? Taupe ?... 

A bien y réfléchir, ma préférence irait plutôt au lapin...

 

   

Trou des Nutons (Flavion).  Première expérience souterraine.  

 

  

Galeries d'acheminement d'eau potable. Flavion.

 

Trou de l'Eglise. Mont Godinne.

Humanités gréco-latines (assez peu) brillantes au Collège Notre-Dame de Bellevue de Dinant. Souvenirs agréables plutôt rares de cette période terne et dictatoriale. Heureusement, il y a la vie à côté, et celle-là est infiniment plus riche et plus valorisante.

  A 13 ans, je découvre, par hasard, dans une librairie de gare, "L'étranger" et "La peste" d'Albert Camus,  ainsi que le "Moïra" de Julien Green. Premiers éblouissements, véritables révélations qui débordent le monde étriqué savamment et sataniquement entretenu par l'époque. 

  Oh! permettez-moi de vous livrer une anecdote à propos de cette découverte de "Moïra"... Un jour, je reçois, comme devoir, une rédaction sur le thème de l'automne. Or, je viens précisément de lire une page de Moïra qui me semble correspondre parfaitement au sujet proposé. Autant dire que, saisissant l'aubaine, je m'empresse de recopier, à peu près mot pour mot, le texte en question, éliminant bien entendu ce qui a trait à l'intrigue. Quasi certain d'obtenir, avec ce travail "conséquent", le tout gros lot, la note magistrale du siècle et les félicitations du jury, je me vois tout au plus attribuer un maigrichon... 7 sur 10. Autant dire que le résultat me déçoit profondément, au point de m'en révolter encore aujourd'hui !  7 sur 10 pour Julien Green, bon, là, d'accord ! Mais pour le petit jeune que je suis...

    Mais, promis, juré, c'est en ce sens-là que j'élaborerai mes futurs films...

  Entendons-nous bien: je ne souhaite ni adapter, ni plagier qui que ce soit; je viens seulement de prendre conscience que la création d'une atmosphère est bien plus importante que l'invention d'une histoire.

La découverte des films de Bergman, et notamment Le septième sceau et Les fraises sauvages, trois ans plus tard (eh oui, ses films sont, à l'époque, interdits au moins de 16 ans...) confortera tardivement ce sentiment. 

Ainsi que les livres de Kafka, Boris Vian, Kazantzakis...

La découverte éblouissante d'un film de Fellini  en 1964 - Huit et demi -scellera en moi cette idée de primauté de l'ambiance sur l'histoire, et cela, j'en suis toujours intimement convaincu aujourd'hui, m'apparaît valable en toute création artistique... L'atmosphère, en ce cas, devient la substance essentielle, l'histoire n'étant finalement qu'élément anecdotique qui ne trouve sa nécessité qu'en tant que support...

Un dieu, véritablement, que ce Fellini... Qui me poussera à explorer, nombre d'années plus tard, les studios romains de Cinecitta, à la recherche de son ombre, de son fantôme... L'occasion de le rencontrer en chair et en os me sera offerte, peu de temps après, mais je la refuserai, éh oui, craignant trop que la rencontre ne se passe pas aussi bien qu'espéré...

  Etudes de cinéma à l'Institut des Arts de Diffusion de Bruxelles. 

  L'I.A.D. (Institut des Arts de Diffusion) est la première école de cinéma, digne de ce nom, fondée en Belgique. Sa création précèdera de peu celle de l'I.N.S.A.S. (Institut National Supérieur des Arts du Spectacle). Elle fête, en cette année 2009, ses 50 ans d'existence.

 Je garde de nombreux et généralement bons souvenirs de cette Ecole de cinéma : outre la qualité exceptionnelle d'un grand nombre de professeurs, elle me permet des rencontres importantes, avec des comédiens de grand format comme Danielle Darieux, Julien Bertheau ou encore Pierre Brasseur, avec des cinéastes tels que Jean-Pierre  Melville (qui se considère lui-même comme  le découvreur de la Nouvelle Vague...) ou encore Claude Lelouch... Un Lelouch beaucoup moins commercial à l'époque !...

Après avoir donné une journée de cours intensifs, Claude Lelouch offre encore, au départ du studio de l'I.A.D., un véritable show à la R.T.B. (Radio Télévision Belge). Les téléspectateurs belges reconnaîtront, derrière lui, le regretté Selim Sasson dont "Le carrousel aux images" est encore dans beaucoup de mémoires... © Jacques Lambert

 

  Quelques rendez-vous ou rencontres parallèles sont encore à noter : avec Jean Eustache (La maman et la putain, Le Père Noël a les yeux bleus...) et Marcel Hanoun (Le printemps, L'hiver...); ce dernier erre dans les rues de Bruxelles comme une âme en peine et, pour cela, on s'empresse de l'inviter à loger... 

  Mais l'I.A.D. me permet surtout de côtoyer, de manière permanente, le gratin belge des  hommes de spectacle: Henri Storck et Frédéric Geilfus, cinéastes, José Jolet, Claude Etienne, Ralph Darbo, Gérard Vivane, Pierre Laroche, comédiens, André Hagon, directeur du service "Reportages" de la télévision belge, Georges Sion, prestigieux homme de lettre et de théâtre... Je crains, hélas, de passer sous silence coupable pas mal de monde...

  Sans oublier tout ce petit peuple en devenir : les futurs comédiens et comédiennes de théâtre et de talent, tels que André Burton, Françoise Bette, Jean-Claude Frison, Martine Willequet, Christian Maillet...    ainsi que ces réalisateurs qui, depuis, ont fait leur petit bonhomme de chemin : Mohammed Ben Salah (en Algérie), Philippe Grand (réalisateur et scénariste à la Télévision Suisse Romande), Benoit Lamy, Marion Hansel... 

 

Mais il me faut encore citer José Sacré, devenu animateur à Radio Télé Monte-Carlo...

Cette fois-là, j'avais répondu à son invitation et m'étais organisé un périple, en Vespa, qui devait aboutir dans cette ville. Un voyage qui me laisserait plein de souvenirs impérissables...

 

J'étais en approche d'Yverdon (Suisse) et la nuit tombait quand, en pleine montagne, je fus pris dans une véritable trombe d'eau et un orage violent. Et en Vespa... Je m'étais vite retrouvé dans un état pitoyable. Du secours m'était nécessaire et la première maison rencontrée serait la bienvenue... C'était une ferme. Et qui, plus est, devait se révéler plus accueillante que prévu... "Pas question pour vous de reprendre, en Vespa, les routes suisses à la veille d'un 15 août ! Ce serait suicidaire !"... Déjà, c'est comme si je faisais partie de la famille !...

 

Et c'est ainsi qu'eut lieu une visite particulièrement inattendue et mémorable !...

 

Mon hôte avait pris rendez-vous pour moi, à mon insu d'ailleurs, avec une "personnalité immense, de réputation mondiale" assurait-il, dont il refusait toutefois de me révéler le nom... Je l'avoue, j'étais inquiet : imaginons que je ne (re)connaisse pas "sa" célébrité mondiale, de quoi aurais-je l'air ?...

Il avait tenu à m'emmener lui-même sur le lieu de rendez-vous fixé à Vevey, avait sonné, avait attendu dix secondes encore,  puis s'était enfui littéralement, non sans me rappeler qu'il viendrait me reprendre deux bonnes heures plus tard. Ainsi en avait-il été convenu avec les gens de cette maison cossue... 

 

Et voilà comment je m'étais retrouvé au coeur même du domaine des Chaplin. Sans l'avoir jamais cherché. Sans comprendre vraiment ce qui m'arrivait...

Madame Chaplin, tout sourire, m'accueillit donc. Tentant de me mettre à l'aise (sans doute avait-elle dû remarquer mon grand embarras, voire mon état de panique !), elle me fit servir le café, m'offrit quelques gâteaux et... un cigare si gigantesque que je ne pus l'accepter par crainte d'apparaître complètement ridicule... 

Elle excusa d'emblée l'absence de son mari, retenu à Londres pour affaires... "Dommage! me dit-elle. Car vous n'imaginez pas le plaisir qu'il éprouve à discuter avec des étudiants issus d'Ecoles de Cinéma !...". Alors, on se contenta de parler de tout, de rien, de mes études, de cinéma mais surtout et  forcément... de son Charlot de mari ! Une bonne heure sans doute...

Ensuite, Madame Chaplin m'invita à faire, librement, le tour du propriétaire. Elle me rappela que chez elle, c'était aussi chez moi et que, bien entendu, je pouvais prendre tout mon temps. La seule restriction qu'elle m'imposa : celle de ne pas photographier les enfants qui jouaient dans la piscine...

Et effectivement, ils étaient nombreux, ces enfants, et bruyants... Une petite fille crachotait ses poumons: elle venait de prendre la tasse... Peut-être, Géraldine...

Respectueux de cette limite qui m'était imposée, je n'ai donc fait aucune photo des enfants Chaplin. Aujourd'hui, je le regrette un peu..

Quand vint le moment des adieux, Madame Chaplin me confia encore une photo dédicacée de son mari... regrettant une fois de plus son absence...

 

 

  Dans les studios de Radio Télé Monte-Carlo, ma présence  devient vite coutumière. Accompagnant José Sacré, je connais tout le monde et tout le monde finit par me connaître. Et c'est ainsi que, durant une dizaine de jours, je suis amené à m'occuper (de manière non officielle d'ailleurs) des vedettes qui passent en direct dans les émissions d'après-midi.

 

José Sacré .

 

© Jacques Lambert

 

 Il fait une chaleur étouffante, de violents orages éclatent régulièrement sur Monaco. Et l'on ne sait jamais, une heure à l'avance, si les "directs" de l'après-midi auront lieu sur la jetée du port de plaisance ou, plus simplement, en studio. Dans cette double effervescence forcée, il semblerait  toutefois qu'on apprécie l'aide que j'apporte à la prise en charge des vedettes de l'émission... pour les faire patienter ! 

   Et c'est ainsi que j'ai l'occasion de bavarder de très longs moments avec Johnny Halliday, Antoine, Mouloudji, Jean-Jacques Debout, Dick Rivers et bien d'autres... Sans oublier Albert Raisner (mais lui, fait en réalité partie des animateurs de la maison).

  Avec leur autorisation, je me permets de prendre quelques clichés. Aucun ne rechigne. Bien au contraire. Et l'ambiance, quoique tendue (direct  oblige), serait plutôt du genre sympa...

 

© Jacques Lambert

© Jacques Lambert

 

Johnny Halliday en direct sur Télé Monte-Carlo, 

depuis le port de plaisance. 

 

© Jacques Lambert

 

© Jacques Lambert

 

© Jacques Lambert

 

© Jacques Lambert

 

Antoine. 

© Jacques Lambert

 

 

 Antoine. 

© Jacques Lambert

 

© Jacques Lambert 

 

Dick Rivers. 

© Jacques Lambert

 

 Albert Raisner  

© Jacques Lambert

 

 

 

  Finalement, ce sera l'armée qui réalisera mes premiers rêves : "faire cinéma" deux heures par jour...  mais à l'autre bout de la chaîne !

 

 

...et "faire paratonnerre" six heures par jour pour tuer le temps.

 

 

 

 

 

  Heureusement, pour rompre la monotonie du train-train quotidien, on me confie quelque mission de choix. Exemple : me faire décorer publiquement comme tireur d'élite en lieu et place du génial tirailleur dont on a brusquement perdu la trace... (sans doute est-il en vacances... à moins qu'il ne soit déserteur...). Et devant tout le bataillon !... Moi qui, fusil en main, suis plus dangereux derrière que devant... Moi qui suis à peine capable de marcher au pas... Mais un peloton m'encadre et je n'ai qu'à suivre ces hommes et les imiter... avec, évidemment, toujours un pas de retard... c'est drôle...

  Non, complètement ridicule...

 

  Un jour pourtant, on me confie la tâche, autrement plus importante, de m'occuper de Raymond Devos dont les exigences de scène et les facéties terrorisent littéralement le Q. G. de la 17ème Brigade Blindée... Et ce sera dans ces conditions que je ferai la connaissance de l'homme de scène le plus charmant du monde...  Enfin, une bouffée d'humanité ! Enfin, un peu de baume au coeur...

 

 

 

 

  Mais ce ne sera que bien plus tard que je pourrai "faire tire-bouchon" et "écrit-vin".

 

 

 

 

Avant d'en arriver là, un long chapelet de tournages m'attend, que je vais tenter d'évoquer, chaque fois que possible, à l'aide de photos de plateau... (A l'exception du film d'un ami, et pour ne pas être fastidieux, j'ai omis volontairement l'insertion des courts métrages).

 

 

 

Se rendre aux pages: 

 

- Page de garde

- Accueil

- Le blog qui débloque

- Cinéaste

- Printemps crétois

- Terres grecques (De l'Olympe aux Iles grecques)

- Conférencier

- Ecrivain

- L'oeuvre (dite) littéraire

- Littérature - mode d'emploi

- Le trou dans le ciel

- La vie à l'endroit, à l'envers et de travers

- Les petits cris

- Yémen entre chiens et loups

- La cité des merveilles

- Carnet de voyage: la Roumanie - Bucarest

- Hommage à René Desmaison

- Hommage à Yves Duval

- Hommage à Monique Cordier

- Les chats de Roland Bavais

- G.E.R.P.M.-S.C. et Sgraffito

- Modeste billet d'humeur d'un junkie wallon et bruxellois

- Sites amis, coups de coeur, divers

- Salle des machines du site

  - Contact